Nos proceedings
Vous avez la possibilité de commander les recueils de conférences des éditions de la Journée Vétérinaire Bretonne et des Rencontres de Belle ile en Mer (40 € HT frais de port compris), il vous suffit d’en faire la demande via notre formulaire de contact.
Journées Vétérinaires Bretonnes (JVB)
Thèmes des éditions par année
- JVB 2011 : La Première édition de la Journée Vétérinaire Bretonne
- JVB 2012 : La santé du nouveau-né
- JVB 2013 : La reproduction
- JVB 2014 : Antibiorésistance, antiobiothérapie et pratique quotidienne
- JVB 2015 : Vaccination des bovins : Quand la théorie rencontre la pratique
- JVB 2016 : Actualités bovines, restez connectés !
- JVB 2017 : Nouvelle formule, conférences en filières équine, bovine et porcine !
- JVB 2018 : 4 filières ! Equine, Bovine, Porcine et Aviaire !
- JVB 2019 : 4 filières et des interventions communes !
- JVB 2020/2021 : Les 10 ans !
- JVB 2022 : Une JVB en bord de mer!
- JVB 2023 : 12e JVB et 1ère journée ASV !
- JVB 2024 : 13e JVB et 2e journée ASV !
Les Rencontres de Belle-Ile en Mer
JVB 2012 : La santé du nouveau-né
Le thème de la deuxième journée vétérinaire bretonne : « la santé du nouveau- né » est un thème abordant un sujet qui préoccupe autant les éleveurs propriétaires que les praticiens. Le jeune est l’avenir de l’élevage et aujourd’hui beaucoup ont compris qu’investir dans la santé des futurs reproducteurs ou des futurs animaux producteurs était crucial, et économiquement rentable. Garder le nouveau- né vivant est la première préoccupation de tout propriétaire tant les dangers qui guettent le jeune dans les premiers jours de vie sont nombreux ; ce sujet est abordé en bovine par J.L. MICHEL au travers des examens complémentaires des diarrhées néonatales mais également en équine par notre consœur M.N. LEMOULAND. Le garder en bonne santé était la ligne directrice de cette journée, faisant une grande place à la zootechnie :
Et quand la maladie se déclenche malgré les bonnes pratiques d’élevage, comment soigner efficacement ?
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JVB 2013 : La reproduction
Nous avons voulu aborder cette journée consacrée à la reproduction sous un angle résolument pratique : outils de gestion collective, outils d’aide au diagnostic et thérapeutique individuelle seront successivement présentés. Jean-Bernard HERMANNS a d’abord présenté les outils de détection des chaleurs chez les bovins, particulièrement utiles pour pallier le manque de personnel dans les grands élevages laitiers actuels. Puis un duo de praticiens, Fabien LARCHER et Frédéric LARS, a présenté en parallèle des systèmes d’organisation de la reproduction mis en place de façon systématique en élevage porcin, et de façon encore anecdotique en élevage bovin. Enfin, William ARAUJO a fait part de son expérience dans la mise en place et la conduite du suivi de reproduction : il a insisté sur les points qui permettent au vétérinaire de différencier son service par rapport aux autres intervenants dans l’élevage et par là-même de le pérenniser. De nombreuses cliniques vétérinaires sont équipées d’analyseurs de biochimie sanguine. Brigitte SILIART a donné des pistes pour mieux utiliser ces outils pour affiner le diagnostic des maladies métaboliques et des déséquilibres minéraux chez la vache laitière. Marc ENNUYER a présenté un cas clinique dont la résolution a été facilitée par l’emploi d’un logiciel expert de traitement des données, VETOEXPERT. Jacques MARTIN a fait part de son expérience de praticien mixte dans le diagnostic de gestation par échographie chez la vache et chez la jument : la technique est la même pour les deux espèces, mais les différences dans l’anatomie de l’appareil génital et l’évolution de la vésicule embryonnaire doivent être connues pour éviter les erreurs d’interprétation. Enfin, Sylvie CHASTANT a dressé le bilan des thérapeutiques et des techniques de diagnostic validées en reproduction : l’acquisition de nouvelles données scientifiques conduit à remettre régulièrement en cause les acquis précédents. |
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JVB 2014 : Antibiorésistance, antiobiothérapie et pratique quotidienne
Le plan Ecoantibio 2017 a été lancé avec un objectif ambitieux de réduction de l’utilisation des antibiotiques en élevage. Seuls prescripteurs d’antibiotiques, les vétérinaires doivent en être les premiers acteurs. Fort de ce constat, le GTV Bretagne a construit sa 4° journée vétérinaire sur le thème de l’antibiorésistance pour aider les vétérinaires à faire évoluer leurs pratiques, puis à convaincre leurs éleveurs de les suivre dans ce changement. Une première partie a permis de mettre à jour les connaissances fondamentales indispensables à toute prescription raisonnée d’antibiotiques : - Qu’est-ce que l’antibiorésistance ? Quand et comment apparaît-elle ? Quelle est la part de responsabilité de la médecine vétérinaire dans cette évolution ? par Jean-Yves MADEC (Anses, Lyon) - Quel est l’intérêt de l’antibiogramme en médecine vétérinaire ? Comment interpréter les résultats ? par Benoît THUILLIER (LABOCEA, Quimper) - Comment choisir un antibiotique et un schéma posologique ? Traiter vite, fort et longtemps, est-ce toujours d’actualité ? par Alain BOUSQUET- MELOU (ENVT) Une seconde partie a fait le lien avec la pratique à partir d’exemples rencontrés quotidiennement : - Comment préciser le diagnostic pour être certain d’être devant une infection bactérienne ? Quels examens complémentaires au chevet de l’animal malade ou au cabinet ? au travers de l'exemple des diarrhées néonatales, avec la présentation d'une étude terrain réalisée avec le GDS sur les Kits rapides par Loïc MAURIN (GDS Bretagne) et François PASTORELLI (Membre de la Commission Vache Allaitante de la SNGTV, St Méen Le grand - 35-) - Échecs et rechutes : quand arrêter de traiter ? au travers de l'exemple des mammites bovines par Philippe LE PAGE (Président de la Commission Qualité du Lait de la SNGTV, Lesneven - 29-) - Quand passer du traitement individuel au traitement collectif ? au travers de l'exemple des BronchoPneumonies Infectieuses Enzootiques par Sébastien ASSIE (Oniris) Enfin, si les bactéries sont parfois résistantes aux antibiotiques, le vétérinaire est souvent résistant aux changements… Un dernier exposé a tenté de répondre à deux questions essentielles : comment accepter de changer ses pratiques ? Comment convaincre les éleveurs ? par Laurence LAJOU (Something Else – Stratégy et Marketing Solutions, Clermont-Ferrand). |
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Le GTV Bretagne met à la disposition des praticiens un kit de communication pour animer des réunions auprès de leurs clients éleveurs. Sur un CD-Rom vous trouverez :
4 modules de formation ont été développés (voir ci-contre). Les supports pédagogiques ont été conçus pour favoriser l’interactivité et optimiser la participation des éleveurs. Le support de formation peut être utilisé de différentes manières : soit en formation de type VIVEA (une journée ou deux demi-journées), soit en 4 réunions plus courtes (1h30 à 2h00) pour de petits groupes d’éleveurs. Les 2 premiers modules peuvent même être utilisés sous forme de conférence pour un public plus nombreux. L’outil de formation s’adresse à tous les éleveurs des filières concernées par l’usage des antibiotiques. Il est distribué exclusivement à l’usage des vétérinaires pour former les éleveurs de leur propre clientèle. Ne laissez pas les autres dicter votre conduite, et accompagnez vous-même vos éleveurs dans la voie d’un élevage « antibio-responsable » : agissez dès aujourd’hui en commandant un Kit de réunion auprès du GTV Bretagne, et programmez dès demain votre première réunion ! |
JVB 2015 : Vaccination des bovins : Quand la théorie rencontre la pratique
Les intervenants de la Journée Bretonne 2014 l’ont confirmé : la meilleure façon de prévenir l’apparition de l’antibiorésistance est de ne pas utiliser d’antibiotiques ! Une réduction de la prescription des antibiotiques, objectif affiché du plan Ecoantibio2017 et de la Loi d’Avenir Agricole, passe par une amélioration de la prévention des maladies infectieuses. C’est pourquoi le GTV Bretagne a décidé de mettre l’accent, pour la 5ème Journée Vétérinaire Bretonne, sur la vaccination en élevage bovin. Une première partie, confiée à Gilles FOUCRAS (ENVT), rappelle au prescripteur les facteurs de l’immunité mobilisés par la vaccination. De ces rappels théoriques, découlent naturellement des recommandations pour la gestion au quotidien de la pratique vaccinale : que pouvons-nous attendre d’un vaccin (indications, interférences, réactions croisées) ? Quels sont les critères de choix d’un vaccin ? Quel protocole vaccinal doit-on mettre en place ? Ce recueil se poursuit par une rencontre entre Gilles FOUCRAS (ENVT) et Kevin LEROUX (GTV Bretagne, Landivisiau) pour confronter la théorie à la pratique autour d’un cas clinique permettant de présenter les facteurs à connaître et à maîtriser pour que la réponse à la vaccination soit optimale chez les bovins. Sébastien ASSIE (Oniris) précise, à partir de l’exemple des BPIE, sur quelles périodes et sur quels individus cibler la vaccination. Puis Paule CARNAT GAUTIER (Anses ANMV) présente toutes les possibilités d’autorisation d’un vaccin autres que l’AMM, notamment en cas de situations sanitaires défavorables. Elle explique ce que recouvrent ces différentes autorisations (AMM, ATU, autovaccin, …) en termes d’évaluation et d’accès pour les vétérinaires praticiens. Julien HOUARD (GTV Bretagne, Le Faouët), rappelle les différentes méthodes d’évaluation de la qualité du colostrum et du transfert colostral, leurs avantages et inconvénients. Il explique comment il les utilise au quotidien pour convaincre les éleveurs de faire évoluer leurs pratiques, mais aussi pour passer d’une intervention d’urgence (le veau diarrhéique) à une intervention d’audit/conseil global en santé des veaux. Enfin, Arnaud DELEU (SIMV), à partir des résultats d’une enquête réalisée auprès d’éleveurs de bovins, tente de donner les clés pour comprendre la perception de la vaccination par les éleveurs et les convaincre d’y avoir recours. |
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JVB 2016 : Actualités bovines, restez connectés !
Dans le cadre de la lutte contre l’antibiorésistance toutes les pistes doivent être explorées. Les praticiens ont un rôle essentiel à jouer pour améliorer leurs prescriptions d’antibiotiques et promouvoir la vaccination : nous avons développé ces aspects au cours des deux journées vétérinaires bretonnes précédentes, en 2014 et 2015. La résistance des animaux aux maladies est une piste d’avenir permise par les récents progrès en génétique bovine : Didier BOICHARD (INRA) fait le point sur la génomique et ses applications pratiques en élevage. Quelle que soit la qualité de la prévention, le praticien reste le thérapeute de l’élevage et de la qualité de son diagnostic dépend l’efficacité des traitements. L’œil du praticien doit rester en permanence en alerte pour détecter précocement les maladies émergentes. Alexandra SENKOWSKI (GTV Bretagne) explique comment elle a collaboré avec l’Observatoire National des Anomalies Génétiques Bovines et Aurélien CAPITAN (INRA) pour identifier une anomalie génétique responsable de malformations chez les veaux de race Blond d’Aquitaine. Éric COLLIN (GTV Bretagne) présente la démarche qui l’a conduit à identifier une nouvelle bactérie pathogène dans un troupeau laitier, et étend sa réflexion aux conditions nécessaires pour améliorer la détection de syndromes émergents par l’exploration systématique et raisonnée des Syndromes Inhabituels à Investiguer Prioritairement. Raphaël GUATTEO (Oniris) présente les nouveaux outils à la disposition des éleveurs pour améliorer la conduite de leurs troupeaux et comment ils peuvent contribuer également à la détection précoce des maladies. Il envisage ce que le praticien peut en attendre pour affiner son diagnostic ou améliorer le suivi de ses traitements. Enfin Thierry DARIDON (GTV Bretagne) présente une démarche structurée permettant au praticien de transmettre ses consignes à l’éleveur pour qu’elles soient comprises et appliquées. |
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JVB 2017 : Nouvelle formule, conférences en filières équine, bovine et porcine !
En présentant un programme résolument pratique, mettant en avant les expériences des conférenciers et favorisant les échanges entre praticiens, le GTV Bretagne a réuni à Ploërmel près d’une centaine de confrères pour la 7° Journée Bretonne Vétérinaire. Les organisateurs, à l’écoute des adhérents du GTV Bretagne, ont conçu une journée résolument pratique et multi-espèces : activités équine, bovine et porcine ont été au programme. Marie Noëlle LE MOULAND (Commission Equine SNGTV) a rappelé les erreurs à ne pas commettre quand on entreprend de castrer un cheval. Elle a insisté sur la nécessité du consentement éclairé écrit du propriétaire avant toute intervention. Olivier SALAT (Commission Vaches Laitières SNGTV) a présenté son expérience de l’examen échographique des ovaires dans le cadre du suivi de reproduction. L’examen attentif des ovaires et de l’utérus permet de connaître plus précisément le stade du cycle auquel se trouve la vache examinée, et de proposer le traitement de mise à la reproduction adapté à chaque individu. En dépassant le simple constat de gestation, le praticien a l’opportunité de s’imposer comme le principal interlocuteur en matière de reproduction en élevage bovin. Quatre confrères bretons ont présenté quatre techniques différentes de cure chirurgicale du déplacement de la caillette à gauche. Richement illustrées, ces présentations ont donné lieu à de nombreux échanges avec la salle. Olivier FORTINEAU (GTV Bretagne) a présenté un cas de troubles de santé péri-partum dans un élevage laitier pour illustrer les examens biochimiques réalisables à la clinique vétérinaire. Le dosage du cholestérol est notamment un indicateur intéressant pour apprécier le déficit énergétique. La journée s’est terminée par la présentation par 5 confrères bretons de 5 trucs et astuces qui facilitent leur exercice quotidien : maintien des tubulures de perfusion avec des pinces à champ, castration des veaux avec des pinces à utérus, endoscopie avec un endoscope de plombier monté dans un lance-bolus, entérotomie facilitée l’introduction d’une carotte bien cuite dans la lumière intestinale pour guider les sutures mais aussi gestion des tournées et de l’activité quotidienne avec Google agenda ! Pour la première fois la JVB accueillait un atelier porcin. Vincent MULLER (Epidalis) a présenté une technique d’autopsie originale et pratique, avec un abord latéral du porcelet pour un accès immédiat et complet à l’ensemble des organes. Mathieu COUTEAU (HLvet) a dressé un tableau complet du diagnostic différentiel des avortements avec en particulier les examens complémentaires à demander. Frédéric BOURGEON (Bio Chêne Vert) nous a expliqué le cadre normatif de l’antibiogramme et les interprétations que le laboratoire peut faire et indiquer sur son compte rendu. Franck BOUCHET (Porc.Spective) a partagé son expérience de la technique de la « bouillie anglaise » et a présenté ses résultats sur la multiplication des coliformes, entérocoques et clostridies en fonction du support, du pH et de la durée de fermentation. Karine LACOURAU (Anses), Ludovic LE CARPENTIER (cabinet de Malestroit) ont présenté les travaux prospectifs sur l’implication éventuelle des chlamydies dans les troubles de la reproduction. Autre innovation cette année, le déjeuner sous forme de buffet s’est déroulé dans l’exposition commerciale à la grande satisfaction de tous : les échanges entre conférenciers, congressistes et laboratoires partenaires ont été riches et nombreux. Les confrères sont repartis satisfaits avec des « trucs et astuces » immédiatement applicables dès le lendemain en clientèle. Rendez-vous est déjà pris pour l’année prochaine pour une nouvelle journée conviviale d’échanges et d’information. |
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JVB 2018 : 4 filières ! Bovine, Equine, Porcine et Aviaire !
Le GTV Bretagne a invité tous les confrères exerçant en productions animales à la 8ème Journée Vétérinaire Bretonne qui s'est déroulée le jeudi 22 mars 2018 à Ploërmel (56). Totalement repensée, cette journée a gardé le concept qui a fait le succès de l’édition précédente, à savoir une journée résolument pratique et multi-espèces. Les conférences en salle plénière ont concerné les activités équine et bovine ; un nouvel atelier aviaire a enrichi l’offre de formation aux côtés de l’atelier porcin reconduit cette année. Philippe Bocher (praticien équin) a abordé la gestion des coliques du cheval en précisant quand et comment référer dans les meilleures conditions. Hélène Leray (praticien en exercice exclusif en ostéopahie) a indiqué comment intégrer l’ostéopathie dans son offre thérapeutique. Vincent Legoupil (Commission Parasitologie de la SNGTV) nous a montré comment bien utiliser le microscope pour améliorer le diagnostic des parasitoses bovines et équines. Une grande place a été laissée à un débat sur les nouvelles modalités à trouver pour les relations entre les vétérinaires et leurs éleveurs, en présentant notamment la place de la contractualisation grâce à l’expérience de Philippe Sulpice, (animateur de la FEVEC et du GTV Rhône Alpes) et de Frédéric Arzur et Thierry Daridon, (praticiens dans le Finistère). Xavier Quentin (praticien dans la Manche) nous a présenté son expérience dans le traitement chirurgical du syndrome hémorragique jéjunal. L’atelier porcin a été consacré à deux thématiques : le bien-être animal et la pathologie digestive. Le bien-être animal a été traité par Patrick Bourguignon et Ludovic Lecarpentier avec 2 sujets d’actualité, la prise en charge de la douleur par l’éleveur avec le rôle du vétérinaire dans sa sensibilisation et sa formation puis un autre sujet « sensible », le dossier de la mise à mort à l’élevage en cas de souffrance ou de non transportabilité. La pathologie digestive a été abordée quant à elle suivant 3 angles : les nouvelles connaissances sur le microbiote intestinal et les perspectives de maitrise de certains troubles digestifs par David Guillou (MixScience), l’évolution de la DEP et les enseignements à tirer des cas français de 2017 par Nicolas Rose (Anses) et enfin le diagnostic différentiel des diarrhées du porc sevré en s’appuyant sur les examens de laboratoire actuellement à notre disposition par Jean Le Guennec (Labofarm). Dans l’atelier aviaire, Jean-Luc Guérin (ENVT) a fait le bilan des mesures de biosécurité mises en place lors des épisodes d’influenza aviaire dans le Sud-Ouest. Caroline Le Maréchal, (Anses) y a présenté les résultats de ses travaux expérimentaux au service des praticiens pour améliorer le diagnostic du botulisme chez les volailles, mais également chez les bovins. Comme l’année dernière, la journée bovine s'est achevée sur une présentation par des praticiens bretons de leurs « trucs et astuces » qui facilitent leur exercice quotidien : ont été abordés des sujets très variés allant du drainage des abcès lors d’arthrite phalangienne à l’installation d’une station informatique autonome dans un véhicule, en passant par des aides à la réduction des torsions utérines ou à la perfusion des jeunes veaux.
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JVB 2019 : 9e édition et toujours 4 filières ! Bovine, Equine, Porcine et Aviaire !
Dans la continuité des éditions précédentes, la Journée Vétérinaire Bretonne s’est adressée à tous les vétérinaires impliqués dans les productions animales, en collant à l’actualité, et en apportant des réponses pratiques aux interrogations des praticiens. La journée a débuté par une intervention sur la gestion du poulinage. Nous avons innové ensuite en présentant en fin de matinée en salle plénière trois interventions qui concernaient toutes les filières de productions et qui montraient la complexité de leurs interrelations : Laetitia BONIFAIT, Responsable du Laboratoire National de Référence Salmonella sp. a fait le point sur les toxi-infections à salmonelles puis sur l’épidémiologie des salmonelloses dans les filières porcine, aviaire et bovine ; Joël BERTIN a présenté un cas clinique d’une infection croisée inter-élevages impliquant ces trois productions. Après la pause déjeuner, 3 ateliers spécifiques ont été proposés aux participants : une table ronde sur l’exploitation des données des élevages pour débuter l’atelier bovin : comment les récupérer, comment les exploiter, … Trois confrères nous ont fait partager leurs expériences. Dans la continuité Jean-François LABBE nous a proposé une méthodologie d’intervention dans une exploitation laitière en traite robotisée afin d’exploiter au mieux les données disponibles, tant pour la médecine individuelle que pour une approche globale de la production. L’actualité sanitaire était au cœur de l’atelier porcin avec deux interventions sur la grippe récurrente et une sur l’hépatite E. La PPA n'a pas été oubliée avec une intervention pratique sur les signes d’alerte et notamment les lésions visibles à l’autopsie. L’atelier aviaire est revenu sur les méthodes de laboratoire de recherche des salmonelles, mais également des Campylobacter. Un retour d’expérience a été fait sur la dépopulation des élevages lors d’épizootie. Autre innovation de la journée, toutes les productions se sont à nouveau réunies en fin d’après-midi pour un atelier pratique « biosécurité » pour apprendre les bons gestes à faire au bon moment. La journée s'est achevée par un symposium « Cryptosporidiose et biosécurité » animé par Huvepharma.
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JVB 2020/2021 : les 10 ans !
D’abord reportée puis annulée à deux reprises, la Journée Vétérinaire Bretonne de 2020 s’est tenue en 2021 ! La 10° édition de cette journée annuelle proposée par le GTV Bretagne à tous les vétérinaires exerçant en productions animales n’a pas eu le caractère festif initialement programmé, mais elle s’est déroulée en visioconférences étalées sur la semaine du 22 au 26 mars 2021. Ce format en « distanciel » a trouvé son public : plusieurs confrères d’une même structure ont pu assister aux conférences, et les confrères ont pu participer à plusieurs ateliers (porc, bovin, volailles, équin) alors que ce n’est pas possible pour une JVB en « présentiel » ; poser les questions via le « chat » pendant la conférence a permis à tous de s’exprimer, même les plus timides ; l’enregistrement des conférences a participé à augmenter l’audience de la journée grâce aux visionnages qui ont suivi. Fidèle à sa tradition, la Journée Vétérinaire Bretonne a de nouveau développé des sujets permettant d’appliquer rapidement sur le terrain ce qu’on apprend pendant les conférences. Les conférences peuvent être vues en replay en commandant le pack des 10 ans. |
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JVB 2022 : une édition en bord de mer !
Tout le programme a été conçu autour de la diversité : des intervenants venant d’horizons divers, mais toujours des interventions pratiques, en lien direct avec le terrain, pour des praticiens.
- La première conférencière a partagé son expérience de la gestion des plaies chez les chevaux ;
- Sont venus ensuite les regards croisés de la recherche, de l’administration et des praticiens sur les nouveaux élevages dit « alternatifs » qui se développent dans nos campagnes ;
- L’atelier bovin a abordé la conduite alimentaire des vaches laitières au pâturage, le traitement de la kératoconjonctivite bovine, le diagnostic de la besnoitiose et se terminera par un point sur la pharmacovigilance au service des praticiens ;
- L’atelier porcin a fait une place importante au bien-être animal en abordant la caudectomie, l’observation des animaux et la maîtrise de leur santé digestive ;
- L’atelier aviaire a débuté par un retour d’expérience sur la crise de l’influenza aviaire, puis a traité de campylobactériose avant de terminer par un point d’actualité sur les vaccins viraux à façon.
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JVB 2023 : la 12e JVB et la première journée ASV !
La JVB 2023 a encore innové (grande habitude du GTV Bretagne !) : les trois principales filières de production bretonnes, aviaire, bovine, et porcine, ont à nouveau été concernées, avec 3 ateliers spécifiques l’après-midi, mais aussi une conférence en fin de matinée sur un thème commun à toutes les espèces animales. Les équidés n'ont pas été oubliés puisqu’ils ont ouvert la journée. Les ASV ont participé pour la première fois à cette journée avec des ateliers dédiés.
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JVB 2024 : la 13e JVB et la deuxième journée ASV !
La 13e Journée Vétérinaire Bretonne La JVB 2024 a encore innové (grande habitude du GTV Bretagne !) : les trois principales filières de production bretonnes, aviaire, bovine, et porcine, ont à nouveau été concernées, avec 3 ateliers spécifiques l’après-midi, mais aussi une conférence le matin sur un thème commun à toutes les espèces animales. Les ASV n'ont pas été oublié(e)s avec un programme dédié pour la seconde année ! |
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Les Rencontres de Belle-Ile en Mer
Edition 2015 : Maladies vectorisées par les tiques
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